Jordan Vauvert
Ø nous fait plonger dans le vide sans parachute et, quand nous arrivons au plus bas, sans aucune corde pour revenir à la surface, Déhà crie "il n'y a rien". Mais la fin ne sonne pas encore : elle se fait avec le drone funéraire de ز qui nous achève en nous privant de dioxygène. L'orgue est étouffant ; Déhà, par son chant profond et spectral, semble s'affranchir de la respiration. Ø et ز forment un duo incroyable.
《 La fin est dans le commencement et cependant on continue 》
— Samuel Backett.